Ecriture automatique essai numéro 2

Abolit petit bibelot d’ inanité tombé , sans âne ni mais, musique qui vient du vent du froid frigo emprisonnant une cage avec des folles.
Tremblées,torturées,terrifiées, de vent affranchies, comme d’ un cadavre exquis plein de vers, de bières, de lunette, de gris.
Javel crucifié, lificide, et débonnaire, comme de bon air, nous n’ avons pas la bonne mine. Epuisant, fatiguant,allumant, des larmes de suif closent mes paupières armées.
Cadavres multiple, oxymore sans moron, découper la pieuvre en psalmodiant des paroles incestes. Dans la pièces d’ a coté , un concert de vieillard qui se fait rouler par un trait fin.
De grammaire aboulye, comme ta mere la grosse truie, pourkoua pa des aurteau-gyrraffe au coup dénudéy de sence. Encensés, encensoirs comme je partirais aux cagoinces.
L’ Hortefeux voudrais me barrer la route, chambranle de barricade, de visière noirées, détartrant, et concerto de barista, tourte-tourista, tout cela est étrange comme asphyxié de bouche baillonée par une mouche qui zézaie gaiement.

Ecrit en 2015