Le dernier matin

Quel poème percutant !!! C'est un coup de poignard à la beauté aussi profonde que cruelle qui sait  pénétrer son lecteur, et durablement. Tes vers glissent vers cet abyme de souffrance avec tant de noblesse et d'émotion que j'en suis retourné.
Merci de ce grand art.
Bien amicalement,
Lazzaro

Lazzaro a écrit:Quel poème percutant !!! C'est un coup de poignard à la beauté aussi profonde que cruelle qui sait  pénétrer son lecteur, et durablement. Tes vers glissent vers cet abyme de souffrance avec tant de noblesse et d'émotion que j'en suis retourné.
Merci de ce grand art.
Bien amicalement,
Lazzaro

Grand merci, Lazzaro pour ton commentaire élogieux qui me va droit au cœur.
Ce court poème relate des moments pénibles auxquels tôt ou tard la plupart d'entre nous sont au moins confrontés une fois dans l'existence.

Le temps n'efface pas tout, à l'encontre de ce qu'en dit une expression commune... Mais reconnaissons qu'avec le Temps l'on parvient parfois à se "blinder" un tantinet.

Mes amitiés;

Un poignard tel un couperet, des mots telle une sentence, oui on n'y voit toujours que du bleu.

En son sein magique se lovait un dessein tragique.

Merci Peter.

Amicalement.

Benoit (admin.) a écrit:Un poignard tel un couperet, des mots telle une sentence, oui on n'y voit toujours que du bleu.

En son sein magique se lovait un dessein tragique.

Merci Peter.

Amicalement.

Tu résumes bien un moment/virage délicat à négocier, Benoit.
J'ai lu il y a quelques années une étude sociologique montrant que les femmes sont à 75% à l'origine des divorces et probablement aussi des ruptures amoureuses. Je ne pense pas que cette estimation varie beaucoup aujourd'hui. Motif le plus souvent invoqué : "L'avenir avec lui ne me faisait pas rêver" (Sic)...

Mes amitiés.

sec, net, profond et cruel, les mots peuvent tuer aussi sur qu'un poignard dans le cœur
merci Peter

@micalement

Ces blessures qui ne tuent pas mais qui laissent couler l'amertume dans des poèmes aussi beaux et aussi touchants que ce que je viens de lire. :-)
Amitiés soleil
Z. :-)

Gabrielle a écrit:sec, net, profond et cruel, les mots peuvent tuer aussi sur qu'un poignard dans le cœur
merci Peter

@micalement

Un visage angélique, un esprit qui l'était moins. J'avais mis des mois à m'en remettre...et j'avais alors 33 ans...comme Jésus !
Mes amitiés, Gabrielle.

Zaza_Dabord a écrit:Ces blessures qui ne tuent pas mais qui laissent couler l'amertume dans des poèmes aussi beaux et aussi touchants que ce que je viens de lire. :-)
Amitiés soleil
Z. :-)

De l'eau a coulé sous les ponts, mais il lui a fallu longtemps couler pour emporter toute l'amertume qui m'avait saisi à l'époque.
J'avais eu du mal à ne pas devenir violent et à ne pas rajouter de la rage à la tristesse, surtout qu'aucun signal avant-coureur n'avait précédé cette rupture, ni aucune explication logique après...

Amitiés, Zaza.