Dernier verre

L’éclat d’un beau clair de lune
Sur quelques pavés mouillés
Et entre nous deux aucune
Ombre vient nous séparer

Les bruits de nos pas résonnent
Au diapason de nos coeurs
Il fait si doux cet automne
Complice de nos pudeurs

Cette rue n’en finit pas
Martyrisant nos émois
À l’approche de chez toi
Dernier verre, pourquoi pas…

Des soupirs entre les mots
Le silence qui s’installe
La chaleur sous mon manteau
Ta voix douce si fatale

La promesse sans rien dire
Sous-entendus qui avouent
La nuit va nous accueillir
Toi et moi c’est déjà nous

Cette rue n’en finit pas
À l’approche de chez toi
Dernier verre, pourquoi pas...
Quand l’amour s’invite là

"Un dernier verre, pourquoi pas?" Tout le trouble, l'émotion de ces moments si charmants, ces promesses tenues par les silences et les regards si bien exprimés par ton poème... merci.

ibere64 a écrit:"Un dernier verre, pourquoi pas?" Tout le trouble, l'émotion de ces moments si charmants, ces promesses tenues par les silences et les regards si bien exprimés par ton poème... merci.

Merci d'avoir pris le temps de me lire et d'avoir apprécié.
Bonne journée

Une émotion subtilement exprimée, celle de l'avant, du peut-être, du possible. Ne dit-on pas que l'attente est une part du plaisir... Pudique et tendre.

Lydia a écrit:Une émotion subtilement exprimée, celle de l'avant, du peut-être, du possible. Ne dit-on pas que l'attente est une part du plaisir... Pudique et tendre.

En effet, je partage ton avis.
Merci pour ton passage !

Merci aux quelques-uns qui sont passés par ici...

J'aime toute la douceur qui se dégage de ce texte et sa mélancolie encore un texte fort apprécié....

Merci pour ce délicieux instant..


Amitiés

Marlon Dietrich a écrit:L’éclat d’un beau clair de lune
Sur quelques pavés mouillés
Et entre nous deux aucune
Ombre vient nous séparer

Les bruits de nos pas résonnent
Au diapason de nos coeurs
Il fait si doux cet automne
Complice de nos pudeurs

Cette rue n’en finit pas
Martyrisant nos émois
À l’approche de chez toi
Dernier verre, pourquoi pas…

Des soupirs entre les mots
Le silence qui s’installe
La chaleur sous mon manteau
Ta voix douce si fatale

La promesse sans rien dire
Sous-entendus qui avouent
La nuit va nous accueillir
Toi et moi c’est déjà nous

Cette rue n’en finit pas
À l’approche de chez toi
Dernier verre, pourquoi pas...
Quand l’amour s’invite là

Très joli poème où l'on ressent bien cette attente fébrile qui monte petit à petit, à chaque pas.
Marci Marlon, pour ce partage plein de tendresse et d'amour.

J'ai beaucoup apprécié ma lecture, en effet "le dernier verre" est plein de tendresse

Sylviane a écrit:

Marlon Dietrich a écrit:L’éclat d’un beau clair de lune
Sur quelques pavés mouillés
Et entre nous deux aucune
Ombre vient nous séparer

Les bruits de nos pas résonnent
Au diapason de nos coeurs
Il fait si doux cet automne
Complice de nos pudeurs

Cette rue n’en finit pas
Martyrisant nos émois
À l’approche de chez toi
Dernier verre, pourquoi pas…

Des soupirs entre les mots
Le silence qui s’installe
La chaleur sous mon manteau
Ta voix douce si fatale

La promesse sans rien dire
Sous-entendus qui avouent
La nuit va nous accueillir
Toi et moi c’est déjà nous

Cette rue n’en finit pas
À l’approche de chez toi
Dernier verre, pourquoi pas...
Quand l’amour s’invite là

Très joli poème où l'on ressent bien cette attente fébrile qui monte petit à petit, à chaque pas.
Marci Marlon, pour ce partage plein de tendresse et d'amour.

Merci pour ce gentil commentaire !

Le dernier" vers" est le meilleur ...

Fanny a écrit:Le dernier" vers" est le meilleur ...

Merci