LES DEUX SOEURS
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Fanny
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LES DEUX SOEURS
Il était une fois dans un pays lointain et imaginaire deux sœurs dotées de pouvoirs magiques. L’une était belle et méchante, l’autre, laide et gentille. L’aînée, Gisèle était jalouse de sa cadette, pourtant, il n’y avait pas de quoi, elle était si laide, que son visage effrayait n’importe qui et son corps était si disproportionné que cela en était gênant mais aussi incroyable soit il, elle avait quelque chose que les autres n’avaient pas, cette joie de vivre déjà. Gisèle ne comprenait pas comment Isabelle pouvait attirer du monde en étant si laide ? Un jour alors qu’elles jouaient dehors près de la rivière, Gisèle pose une question à sa sœur ? « Aimeriez vous être belle ? ». « Je suis comme je suis ». Gisèle tellement jalouse a soudain une pensée malsaine, mais malgré sa méchanceté évidente elle ne veut pas faire de mal à sa petite sœur, Isabelle, et s’est donc ravisée avec beaucoup de mal, à peu de choses près elle allait commettre l’irréparable, elle n’a pas céder à sa pulsion. Mais Isabelle l’a vu dans ses yeux et lui soutient le regard en lui disant « Pourquoi avez- voulu me pousser dans la rivière, pour que je me noie ? » . « Que racontez vous là Isabelle ? ».
« Ne dis-je pas la vérité ? me prenez vous pour une menteuse ? ».
« Non, je vous crois ». « Alors pourquoi cette ineptie ? »
Il faut savoir qu’Isabelle, malgré sa laideur, était dotée d’une intelligence, d’une douceur et d’une gentillesse incroyables. Elle était dépourvue de haine, de vengeance, de médisance et de violence. Elle rendait service à tout le monde et était dévouée, elle n’envisageait pas sa vie sans aider autrui et sa grande sœur était tout pour elle. Elle l’adorait. Au fond, elle n’était pas si méchante, il fallait bien la connaitre mais elle ne comprenait pas sa jalousie, comment peut être jalouse de sa sœur, de plus qui l’aime, qui est toujours là pour elle, pour l’écouter, la conseiller, n’importe quand, à n’importe quelle heure. Pourquoi être jalouse de sa laideur, elle qui est très courtisée par les plus beaux prétendants ? Mais chose étrange, ils se sauvent tous en courant. Il faut dire qu’elle n’est pas facile, elle a raison sur tout, décide de tout, n’écoute personne, n’aide personne, ne partage ni sa fortune, ni son humanité, elle n’en a pas d’ailleurs, elle est si froide et si dure que lorsque tu la touches, tu en ressens la froideur et que ton corps se recouvre de frissons, la moindre fleur sur son passage se referme, les oiseaux s’envolent, le soleil se cache, à sa venue, derrière les nuages.
Quant à Isabelle, comme vous l’avez compris, est une jeune femme, à la laideur certaine mais si belle de l’intérieur qu’elle rayonne, sa laideur en devient du coup, moins laide. C’est ça, plus tu regardes Isabelle et plus tu la trouves belle.
« Oui j’ai eu une mauvaise pensée mais je n’ai pas pu ».
« Pourquoi tant de colère en vous, tant de haine ? ».
« Parce que vous avez ce que je n’ai pas, la douceur et la gentillesse » .
« Mais vous avez la beauté, n’est ce pas suffisant, réjouissant ? ».
« Ce n’est pas le plus important ».
« C’est vrai, la beauté du cœur ne connait pas la laideur et c’est pour cela que vous avez voulu me pousser dans la rivière afin que je me noie, me sachant en difficulté en eaux ? ».
« Désolée, mais je ne l’ai pas fait ! ».
« Je sais mais vous ne m’aimez pas pour penser cela ».
« Bien sûr que si, petite sotte, puisque je ne l’ai pas fait », « allez rentrons, il est l’heure, nous avons assez flanées comme cela en forêt ».
« Mais personne ne nous attends, nous pouvons encore rester un peu à contempler la nature qui est si belle ».
« Arrêtez d’employer ce mot, je vais mettre en place une règle au royaume qui stipulera qu’il est désormais interdit d’employer le mot « belle ».
« Pourquoi, il est celui que vous portez et celui de bien d’autres ».
« Hé bien j’ai décidé ».
« Comme vous voulez sœur, c’est vous qui dirigez le royaume ».
« Exactement, j’apprécie, en ces moments votre intelligence, elle sied à mes tympans ».
Subitement, sur le chemin caillouteux et terreux, encerclé de fougères, apparait, là, face à elle, une horrible femme, vêtue de guenilles, aux chaussures pointues et usagées, au chapeau biscornu mangé par les mites et une robe qui n’en est plus une, qui ne ressemble à rien, sale, déchirée et trouée, agrémentée d’une cape remplie de poussière et de toiles d’araignées. D’ailleurs, quelques unes s’échappent de son chapeau, de derrière ses oreilles ».
« Une, une arai, araignéeeee crie Gisèle ».
« Calme toi la belle, ce n’est qu’une araignée, tu sais très bien, on te l’a appris et c’est tellement évident que tu ne devrais même pas avoir peur « les petites bêtes ne mangent pas les grosses. Toi, tu es bel et bien bête ».
« Merci dit Gisèle ».
« Et insolente de surcroît. Hé toi, la laide qui se cache derrière, pourquoi te met tu en retrait et ne dis mots ».
« Parce que je n’ai rien à dire et que vous vous adressez à ma sœur ».
« Oh si, que tu as des choses à dires, je sens ces choses là ».
« Mais qui êtes-vous et que voulez-vous ? ».
« Je suis la fée Carabosse et tout comme Gisèle je ne suis pas pourvue de la beauté, d’ailleurs, elle ne sert à rien, j’ai le pouvoir, c’est le plus important, je peux l’être si je veux mais je n’aime pas la beauté, c’est laid, tout comme ce monde qui devient, laid ». « Alors, je suis venue ici, corriger une erreur ».
Gisèle, un peu bête, met un temps certain avant de comprendre alors qu’Isabelle a déjà compris et prend la fuite « va t’en dit elle à sa sœur, va t’en ». Elle court si vite dans la forêt qu’elle en perd une chaussure mais la fée Carabosse la rattrape et la devance sur son balai. A peine eut elle voulu s’en prendre à Isabelle pour lui prendre le meilleur d’elle afin de réaliser une potion d’amour pour attirer le moindre résistant, pour aussi gagner en jeunesse et voir ainsi ses traits se débarrasser des marques profondes qui forment sur son visage des cratères de lune, qu’un éclair de lumière blanche cerclée de bleu éblouit la forêt et la fée Carabosse qui l’atteint en pleine poitrine et la fait tomber de son balai ».
« Ne touche pas à ma sœur, vilaine ». « Vilaine ? tu as vu ton cœur, n’est il pas vilain ? ».
« Je suis ce que je suis et mon cœur est moins vilain que le tien. Tu vas vite repartir de là où tu es venue et si tu oses toucher à ma petite sœur, tu auras à faire à moi ». Intimidée par Gisèle, la Fée Carabosse, claudiquant, rebroussa chemin, surprise d’une telle réaction alors qu’elle lui offrait de se débarrasser de celle qui lui faisait de l’ombre. De sa poche tomba un miroir, un miroir magique. Isabelle se dirige en courant vers sa sœur, la serre dans ses bras et là, Gisèle, ressent une chaleur, une si violente douceur qui s’empare de sa peau, de ses pores, de ses organes, de son cœur, entourées par une aura qui les unit que l’émotion en est puissante, grandiose. Isabelle par un élan d’amour, sans le vouloir, a transmis à sa sœur sa bonté de cœur. Leurs cœurs cognent si fort qu’elles ont si mal qu’elles s’effondrent sur le tapis de feuilles. Elles se réveillent sous l’abri d’un arbre avec chacune à leur main celle d’un prince qui la tapote, il s’agit de deux frères, rois, ils passaient par là. Un est beau et l’autre est laid. Coups de foudres immédiats. Le plus beau, Richard, s’occupe d’Isabelle, la trouvant si belle. Il avait en sa main, une chaussure, trouvée sur le chemin, en forêt. Elle lui tend le pied et la chausse, son pied s’insère avec aisance, il lui sourit. Quant à Jean, le plus laid, s’occupe de Gisèle et fut touché par sa bonté de cœur. Elle le trouve si beau. Il lui tend le miroir magique, trouvé par terre sur le tapis de feuilles. Elle se regarde et là que voit elle, que de belles images, deux mariages, des enfants qui sourient, des adultes partageant le repas, de vieilles personnes, que de la beauté. La sorcière avait volé ce miroir à une princesse, la fée de l’amour et à chaque fois qu’elle se regardait dedans, voyait son visage de laideur se transformer en beauté. Mais après avoir raconté leur histoire, personne ne voulait de ce miroir, alors Gisèle lui jeta un sort et ferma le miroir qui désormais est dépourvu de magie, il fut jeté à l’eau pour s’enfoncer dans le noir des profondeurs et y resta à tout jamais. Chaque prince emporta sur son cheval sa princesse, sa belle, et plus jamais ne se quittèrent. Ils se marièrent, eurent des enfants, beaux et laids, tous pourvus de bonté et vécurent tous heureux sans faire aucune différence car la beauté est celle que l’on veut bien voir et eux, avaient la beauté du cœur, la plus belle.
« Ne dis-je pas la vérité ? me prenez vous pour une menteuse ? ».
« Non, je vous crois ». « Alors pourquoi cette ineptie ? »
Il faut savoir qu’Isabelle, malgré sa laideur, était dotée d’une intelligence, d’une douceur et d’une gentillesse incroyables. Elle était dépourvue de haine, de vengeance, de médisance et de violence. Elle rendait service à tout le monde et était dévouée, elle n’envisageait pas sa vie sans aider autrui et sa grande sœur était tout pour elle. Elle l’adorait. Au fond, elle n’était pas si méchante, il fallait bien la connaitre mais elle ne comprenait pas sa jalousie, comment peut être jalouse de sa sœur, de plus qui l’aime, qui est toujours là pour elle, pour l’écouter, la conseiller, n’importe quand, à n’importe quelle heure. Pourquoi être jalouse de sa laideur, elle qui est très courtisée par les plus beaux prétendants ? Mais chose étrange, ils se sauvent tous en courant. Il faut dire qu’elle n’est pas facile, elle a raison sur tout, décide de tout, n’écoute personne, n’aide personne, ne partage ni sa fortune, ni son humanité, elle n’en a pas d’ailleurs, elle est si froide et si dure que lorsque tu la touches, tu en ressens la froideur et que ton corps se recouvre de frissons, la moindre fleur sur son passage se referme, les oiseaux s’envolent, le soleil se cache, à sa venue, derrière les nuages.
Quant à Isabelle, comme vous l’avez compris, est une jeune femme, à la laideur certaine mais si belle de l’intérieur qu’elle rayonne, sa laideur en devient du coup, moins laide. C’est ça, plus tu regardes Isabelle et plus tu la trouves belle.
« Oui j’ai eu une mauvaise pensée mais je n’ai pas pu ».
« Pourquoi tant de colère en vous, tant de haine ? ».
« Parce que vous avez ce que je n’ai pas, la douceur et la gentillesse » .
« Mais vous avez la beauté, n’est ce pas suffisant, réjouissant ? ».
« Ce n’est pas le plus important ».
« C’est vrai, la beauté du cœur ne connait pas la laideur et c’est pour cela que vous avez voulu me pousser dans la rivière afin que je me noie, me sachant en difficulté en eaux ? ».
« Désolée, mais je ne l’ai pas fait ! ».
« Je sais mais vous ne m’aimez pas pour penser cela ».
« Bien sûr que si, petite sotte, puisque je ne l’ai pas fait », « allez rentrons, il est l’heure, nous avons assez flanées comme cela en forêt ».
« Mais personne ne nous attends, nous pouvons encore rester un peu à contempler la nature qui est si belle ».
« Arrêtez d’employer ce mot, je vais mettre en place une règle au royaume qui stipulera qu’il est désormais interdit d’employer le mot « belle ».
« Pourquoi, il est celui que vous portez et celui de bien d’autres ».
« Hé bien j’ai décidé ».
« Comme vous voulez sœur, c’est vous qui dirigez le royaume ».
« Exactement, j’apprécie, en ces moments votre intelligence, elle sied à mes tympans ».
Subitement, sur le chemin caillouteux et terreux, encerclé de fougères, apparait, là, face à elle, une horrible femme, vêtue de guenilles, aux chaussures pointues et usagées, au chapeau biscornu mangé par les mites et une robe qui n’en est plus une, qui ne ressemble à rien, sale, déchirée et trouée, agrémentée d’une cape remplie de poussière et de toiles d’araignées. D’ailleurs, quelques unes s’échappent de son chapeau, de derrière ses oreilles ».
« Une, une arai, araignéeeee crie Gisèle ».
« Calme toi la belle, ce n’est qu’une araignée, tu sais très bien, on te l’a appris et c’est tellement évident que tu ne devrais même pas avoir peur « les petites bêtes ne mangent pas les grosses. Toi, tu es bel et bien bête ».
« Merci dit Gisèle ».
« Et insolente de surcroît. Hé toi, la laide qui se cache derrière, pourquoi te met tu en retrait et ne dis mots ».
« Parce que je n’ai rien à dire et que vous vous adressez à ma sœur ».
« Oh si, que tu as des choses à dires, je sens ces choses là ».
« Mais qui êtes-vous et que voulez-vous ? ».
« Je suis la fée Carabosse et tout comme Gisèle je ne suis pas pourvue de la beauté, d’ailleurs, elle ne sert à rien, j’ai le pouvoir, c’est le plus important, je peux l’être si je veux mais je n’aime pas la beauté, c’est laid, tout comme ce monde qui devient, laid ». « Alors, je suis venue ici, corriger une erreur ».
Gisèle, un peu bête, met un temps certain avant de comprendre alors qu’Isabelle a déjà compris et prend la fuite « va t’en dit elle à sa sœur, va t’en ». Elle court si vite dans la forêt qu’elle en perd une chaussure mais la fée Carabosse la rattrape et la devance sur son balai. A peine eut elle voulu s’en prendre à Isabelle pour lui prendre le meilleur d’elle afin de réaliser une potion d’amour pour attirer le moindre résistant, pour aussi gagner en jeunesse et voir ainsi ses traits se débarrasser des marques profondes qui forment sur son visage des cratères de lune, qu’un éclair de lumière blanche cerclée de bleu éblouit la forêt et la fée Carabosse qui l’atteint en pleine poitrine et la fait tomber de son balai ».
« Ne touche pas à ma sœur, vilaine ». « Vilaine ? tu as vu ton cœur, n’est il pas vilain ? ».
« Je suis ce que je suis et mon cœur est moins vilain que le tien. Tu vas vite repartir de là où tu es venue et si tu oses toucher à ma petite sœur, tu auras à faire à moi ». Intimidée par Gisèle, la Fée Carabosse, claudiquant, rebroussa chemin, surprise d’une telle réaction alors qu’elle lui offrait de se débarrasser de celle qui lui faisait de l’ombre. De sa poche tomba un miroir, un miroir magique. Isabelle se dirige en courant vers sa sœur, la serre dans ses bras et là, Gisèle, ressent une chaleur, une si violente douceur qui s’empare de sa peau, de ses pores, de ses organes, de son cœur, entourées par une aura qui les unit que l’émotion en est puissante, grandiose. Isabelle par un élan d’amour, sans le vouloir, a transmis à sa sœur sa bonté de cœur. Leurs cœurs cognent si fort qu’elles ont si mal qu’elles s’effondrent sur le tapis de feuilles. Elles se réveillent sous l’abri d’un arbre avec chacune à leur main celle d’un prince qui la tapote, il s’agit de deux frères, rois, ils passaient par là. Un est beau et l’autre est laid. Coups de foudres immédiats. Le plus beau, Richard, s’occupe d’Isabelle, la trouvant si belle. Il avait en sa main, une chaussure, trouvée sur le chemin, en forêt. Elle lui tend le pied et la chausse, son pied s’insère avec aisance, il lui sourit. Quant à Jean, le plus laid, s’occupe de Gisèle et fut touché par sa bonté de cœur. Elle le trouve si beau. Il lui tend le miroir magique, trouvé par terre sur le tapis de feuilles. Elle se regarde et là que voit elle, que de belles images, deux mariages, des enfants qui sourient, des adultes partageant le repas, de vieilles personnes, que de la beauté. La sorcière avait volé ce miroir à une princesse, la fée de l’amour et à chaque fois qu’elle se regardait dedans, voyait son visage de laideur se transformer en beauté. Mais après avoir raconté leur histoire, personne ne voulait de ce miroir, alors Gisèle lui jeta un sort et ferma le miroir qui désormais est dépourvu de magie, il fut jeté à l’eau pour s’enfoncer dans le noir des profondeurs et y resta à tout jamais. Chaque prince emporta sur son cheval sa princesse, sa belle, et plus jamais ne se quittèrent. Ils se marièrent, eurent des enfants, beaux et laids, tous pourvus de bonté et vécurent tous heureux sans faire aucune différence car la beauté est celle que l’on veut bien voir et eux, avaient la beauté du cœur, la plus belle.
MaryTy- Messages : 94
Date d'inscription : 04/07/2022
Age : 55
Localisation : Nancy
Fanny, angelblue, Lydia, CLARI, Here et Nikol aiment ce message
MaryTy- Messages : 94
Date d'inscription : 04/07/2022
Age : 55
Localisation : Nancy
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Re: LES DEUX SOEURS
Que c'est laid, que c'est beau ! que c'est laidement beau ! ... et une morale implacable qui explose ce mode de perception omnipotent basé sur l'apparence extérieure, en définitive un texte fédérateur, universaliste et d'un humanisme cinglant !!
Here- Messages : 133
Date d'inscription : 22/08/2022
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Re: LES DEUX SOEURS
Merci à toi, Here, c'est tellement une réalité, je me sens de plus en plus extra terrestre, l'essentiel n'est plus évidence... dommage... mais je demeure ... et je crois au meilleur, encore, toujours.... l'intelligence émotionnelle sous son apparente faiblesse est une force redoutable et vive l'humain, vive l'univers, vive l'homme et vive la vie
MaryTy- Messages : 94
Date d'inscription : 04/07/2022
Age : 55
Localisation : Nancy
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Re: LES DEUX SOEURS
Avoir" la beauté du cœur" c'est bien là l'essentiel surtout que la chirurgie esthétique ne répare pas les cœurs haineux !
Un texte qui prône au travers de sa morale de belles valeurs humanistes...
Bravo Mary Ty
Merci et bonne journée
Un texte qui prône au travers de sa morale de belles valeurs humanistes...
Bravo Mary Ty
Merci et bonne journée
_________________
Fanny
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Re: LES DEUX SOEURS
J'avoue avoir hésité avant de me lancer dans cette longue lecture Mais l'envie de me retrouver au pays des contes l'a emporté. Une belle morale à la fin, comme de juste. Si les cœurs (et surtout ce qu'ils contiennent) étaient visibles au premier regard... N'est-ce pas notre punition du péché originel d'avoir à distinguer le bon du mauvais ? Bon je vais me coucher... J'ai bien aimé l'histoire, Mary Ty.
Lydia- Messages : 2640
Date d'inscription : 10/04/2022
Age : 65
Localisation : ROCHEFORT
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Re: LES DEUX SOEURS
Une prose magnifique, un conte superbe et très réaliste, c'est vrai les gens sont plus attirés par l'enveloppe que par ce qu'il y a l'intérieur de la personne.
Ma grand mère disait souvent "La beauté de l'âme l'emporte sur la beauté physique.”
Merci pour cette belle lecture
Amicalement
Ma grand mère disait souvent "La beauté de l'âme l'emporte sur la beauté physique.”
Merci pour cette belle lecture
Amicalement
angelblue- Messages : 1326
Date d'inscription : 10/04/2022
Age : 58
Localisation : var
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Re: LES DEUX SOEURS
J'ai bien aimé ton histoire. Tu es une conteuse remarquable !
La beauté du coeur et la gentillesse sont bien plus importantes que l'extérieur.
Et chacun trouve toujours chaussure à son pied.
Merci pour cette belle histoire.
Gros bisous
La beauté du coeur et la gentillesse sont bien plus importantes que l'extérieur.
Et chacun trouve toujours chaussure à son pied.
Merci pour cette belle histoire.
Gros bisous
CLARI- Messages : 1542
Date d'inscription : 14/04/2022
Age : 78
Localisation : Alsace
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Re: LES DEUX SOEURS
J'ai bien aimé cette histoire et je l'ai lue avec plaisir. Elle m'a remis en mémoire le conte de Charles Perrault qui s'appelle Les Fées.... Merci pour ce joli partage
Clem- Messages : 300
Date d'inscription : 10/05/2022
Localisation : Toulouse
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