La terre des fougères

Par ces fougères
respire la terre
humide et son parfum
va rejoindre l’air
au crible de leurs frondes
La terre est si rouge
ta bouche, oh ! ta bouche !
là, plus rien ne bouge
que cette attente farouche
dans la forêt profonde

Ta poésie est vivante, tes mots bruissent et palpitent. C'est très beau. C'est émouvant de te lire.

Je suis très touché par ce que tu écris là, et ça m’émeut que tu sois sensible à ces mots, Véronique  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]