J'aime pas mes yeux, ils en disent trop.

Difficile de ne pas pleurer,
Je voudrais ravaler ma peine
Pour jamais ne la révéler.
Mais mon front au bord d'eaux se ride
Et mes yeux jaugent l'âme pleine
Qu'en pensées j'ai rendue liquide.
Tous ceux qui regardent en face
L'autre moi aux yeux s'adresser,
Trouvent aux mots des larmes à la place
Qui leur parlent de mon cœur muet.
Lentement les regards se baissent,
La tristesse est un diapason.
Mon silence est bien trop bavard
Pour si courte conversation.

Hugo98 a écrit:Difficile de ne pas pleurer,
Je voudrais ravaler ma peine
Pour jamais ne la révéler.
Mais mon front au bord d'eaux se ride
Et mes yeux jaugent l'âme pleine
Qu'en pensées j'ai rendue liquide.
Tous ceux qui regardent en face
L'autre moi aux yeux s'adresser,
Trouvent aux mots des larmes à la place
Qui leur parlent de mon cœur muet.
Lentement les regards se baissent,
La tristesse est un diapason.
Mon silence est bien trop bavard
Pour si courte conversation.

Par le regard, nous nous connectons aux autres d'une façon très intense. Ce contact visuel est un puissant moyen de communication qui varie certes en fonction du degré d'empathie de celui qui regarde et de sa capacité de mentalisation .
Il est le miroir de l'âme...
Merci Hugo pour ce beau partage

Lina a écrit:

Par le regard, nous nous connectons aux autres d'une façon très intense. Ce contact visuel est un puissant moyen de communication qui varie certes en fonction du degré d'empathie de celui qui regarde et de sa capacité de mentalisation .
Il est le miroir de l'âme...
Merci Hugo pour ce beau partage

Merci Lina ! J'aime ta "vision" des choses