Eh ! Loi ! Passe en code !
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Eh ! Loi ! Passe en code !
Eh ! Loi ! Passe en code !
Ne me harcelez pas sans un peu de tendresse
Et n’ayez point d’audace sans mon consentement,
Nous n’avons pas vécu encore la maladresse
De la neuve morale et son relâchement.
En libérant la femme ainsi qu’on le voulut
Il ne fallait en faire un objet de vitrine
La laisser dévoiler bien plus qu’il n’eut fallu
Vendre sa nudité en chaque magazine.
Le barbare a toujours sommeillé dans le mâle
La morale fuyant et les temps permissifs
Libérèrent peu à peu la furie animale
Et les galants désirs se firent agressifs.
On culpabilisa la féminine engeance
Qui outragée n’osait dénoncer les auteurs
D’une brutalité, sadique déchéance,
L’oreille de la justice ayant quelque lenteur.
On disserte à nouveau de ce juge attentif
Aux malheurs féminins, prié de réagir
Est ce bulle dans l’eau ou doigt législatif
Désignant les fautifs et les faisant punir.
Les mœurs déliquescentes, la permissivité,
Les sordides images au ciné des scandales,
La glorification de toute cruauté,
Inspirent au genre humain des laideurs amorales.
L’horreur est chaque jour mise en nos devantures
Et les pires méfaits furent banalisés
Aux dames abusées offrons droit de coupures
Les gestes non permis seront exorcisés.
Un retour de vertu et de saine logique
Au beau sexe offrirait une protection
Et un geste attendu autant que juridique
Serait de rétablir la peine du Talion.
On déplairait ainsi à celui qui déplut
Prévenant le retour de tout liberticide
Il serait appauvri de quelques attributs;
On écartelait bien jadis tout régicide.
Ne me harcelez pas sans un peu de tendresse
Et n’ayez point d’audace sans mon consentement,
Nous n’avons pas vécu encore la maladresse
De la neuve morale et son relâchement.
En libérant la femme ainsi qu’on le voulut
Il ne fallait en faire un objet de vitrine
La laisser dévoiler bien plus qu’il n’eut fallu
Vendre sa nudité en chaque magazine.
Le barbare a toujours sommeillé dans le mâle
La morale fuyant et les temps permissifs
Libérèrent peu à peu la furie animale
Et les galants désirs se firent agressifs.
On culpabilisa la féminine engeance
Qui outragée n’osait dénoncer les auteurs
D’une brutalité, sadique déchéance,
L’oreille de la justice ayant quelque lenteur.
On disserte à nouveau de ce juge attentif
Aux malheurs féminins, prié de réagir
Est ce bulle dans l’eau ou doigt législatif
Désignant les fautifs et les faisant punir.
Les mœurs déliquescentes, la permissivité,
Les sordides images au ciné des scandales,
La glorification de toute cruauté,
Inspirent au genre humain des laideurs amorales.
L’horreur est chaque jour mise en nos devantures
Et les pires méfaits furent banalisés
Aux dames abusées offrons droit de coupures
Les gestes non permis seront exorcisés.
Un retour de vertu et de saine logique
Au beau sexe offrirait une protection
Et un geste attendu autant que juridique
Serait de rétablir la peine du Talion.
On déplairait ainsi à celui qui déplut
Prévenant le retour de tout liberticide
Il serait appauvri de quelques attributs;
On écartelait bien jadis tout régicide.
Haie Crie Vain- Messages : 980
Date d'inscription : 10/04/2022
Age : 84
Localisation : val de Loire
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