Scélérats.

Merci Benoît pour ce cri du cœur.


"Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark". On pourrait paraphraser avec ces mots de William Shakespeare dans son célèbre Hamlet comme ceci::"Il y a quelque chose de pourri dans la République française."

Voici un poème qui ne peut me laisser indifférente...
Je me plairais à le lire ou le chanter en battant le pavé aujourd'hui et jusqu'au retrait...
La violence du déni démocratique est si forte et nous, nous n'avons que notre colère pour seul moteur...
Bravo, j'ai partagé ce texte et tes mots engagés et enragés doivent voyager...

alaindicharry a écrit:Merci Benoît pour ce cri du cœur.


"Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark". On pourrait paraphraser avec ces mots de William Shakespeare dans son célèbre Hamlet comme ceci::"Il y a quelque chose de pourri dans la République française."

Il y a quelque chose de pourri et il y aura toujours quelque chose de pourri dans toutes les formes de gouvernement car la soif de pouvoir et d'argent rend cette corruption de l'âme possible et les autres corruptions en découlent.

Merci Alain de ton soutien.

Fanny a écrit:Voici un poème qui ne peut me laisser indifférente...
Je me plairais à le lire ou le chanter en battant le pavé aujourd'hui et jusqu'au retrait...
La violence du déni démocratique est si forte et nous, nous n'avons que notre colère pour seul moteur...
Bravo, j'ai partagé ce texte et tes mots engagés et enragés doivent voyager...

Si tu le chantes aussi bien que tu écris certaines sirènes seront jalouses.

C'est un déni démocratique en tant que l'étude de ce projet de loi a été accélérée pour qu'il n'ait pas le temps d'être débattu comme il aurait mérité de l'être et ceci est un abus de pouvoir même si légale la procédure l'est mais c'est surtout un déni du peuple, de sa colère qui gronde, de son refus de travailler toujours plus pour au final n'enrichir que ceux qui l'exploitent et là je ne parle que de ceux qui iront jusqu'à cet âge car beaucoup ne l'atteignent malheureusement pas et c'est un déni de réalité, les politiques en étant, pour la majorité, déconnectés.

Bref je m'arrête là sinon je vais réécrire Le Capital

Les mots sont faits pour être transmis alors merci Stéphanie de les faire voyager et de les avoir partagés  et désolé pour le pavé

Au-delà de cette décision plus que contestable, c'est l'émergence de sentiments comme la haine et la rage qui me dérange. Comment faire différemment face à ces procédés qui nient le peuple...

Lydia a écrit:Au-delà de cette décision plus que contestable, c'est l'émergence de sentiments comme la haine et la rage qui me dérange. Comment faire différemment face à ces procédés qui nient le peuple...

La haine, la rage, la violence découlent d'une rupture de lien celui qui relie le peuple souverain à ceux qui sont censés le représenter, en l'occurrence la violence n'est pas le fait de la   majorité pour ne pas dire la totalité de ceux qui manifestent leur mécontentement, elle est le fait de ceux qui s'opposent à un système qui ne leur convient pas et ce de manière volontaire ou pas en tant qu'ils sont manipulés et qu'ils servent paradoxalement ceux qu'ils veulent combattre. S'il y avait vraiment une volonté politique pour les arrêter nous ne serions pas dans cette mascarade politicienne. Pour exemple la Révolution Française a engendré la Terreur et qu'a t-on retenu d'Elle ? des symboles alors que seul le type de pouvoir a changé mais que ce sont toujours les peuples qui sont opprimés. Le pouvoir a toujours été un jeu de dupes machiavélique où seuls les intérêts de ceux qui le veulent et l'obtiennent prédominent, il n'existe pas de rapport de force sans dialogue et si celui-ci est absent car refusé alors la violence devient le seul langage.

Il en est ainsi depuis la nuit des temps et c'est la condition humaine, le cerveau de l'homme évolue plus lentement que ses techniques surtout lorsqu'il n'est pas irrigué par la connaissance et le savoir que sont la culture et l'éducation.

Bon c'est décidé je vais écrire un livre

Merci Lydia

C'est pas la matière qui manque...

Le mépris et l'indifférence d'un pouvoir envers le Peuple amènent ce qui risque d'advenir très bientôt. Cela n'est pas nouveau mais cela est toujours inacceptable, insupportable. Ils (ceux qui nous gouvernent et nous entubent) nous poussent à la violence. Mais ce sont eux qui en seront tenus pour responsables aux yeux de l'Histoire. honte à eux.