Théra...poète (Écho à Genèse d'écriture d'Ibère)

Un "Je" qui permet souvent de trouver "les mots pour le dire" et s'auto- médicamenter en vers thérapeutiques(vers et pas verres!) fait un bien fou...Véritable exutoire, reflet d'une introspection qui parfois engendre des mots aux vitriols ou des mots doux...ça dépend...
L'écriture soigne et c'est un très bon médiateur relationnel ...Se dire "je m'aime "dans un flot qui rime avec soi.

Un texte Peter que j'ai particulièrement apprécié, un très bel écho...
Bravo

Fanny a écrit:Un "Je" qui permet souvent de trouver "les mots pour le dire" et s'auto- médicamenter en vers thérapeutiques(vers et pas verres!) fait un bien fou...Véritable exutoire, reflet d'une introspection qui parfois engendre des mots aux vitriols ou des mots doux...ça dépend...
L'écriture soigne et c'est un très bon médiateur relationnel ...Se dire "je m'aime "dans un flot qui rime avec soi.

Un texte Peter que j'ai particulièrement apprécié, un très bel écho...
Bravo

Ton appréciation lucide est la bienvenue, Stéphanie. S'auto- médicamenter en vers thérapeutiques est joliment trouvé et très vrai.
Je dois pour ma part préciser que la lecture du texte de notre ami Ibère, amplement (bien) commenté, m'a fait me souvenir que dans le temps j'avais commis un court poème là-dessus. Un jour d'antan en effet, je me suis amusé à greffer sur le vocable thérapeute celui de poète; ce bouturage néologique résume -en gros- ma façon de voir le rôle du manieur de rimes...
Pour aimer les autres, il faut commencer par s'aimer soi-même, j'ai au moins compris cela...Je dois ajouter que jadis échelonné sur une décennie environ, trois femmes à leur manière m'ont fait réciter cette leçon.... et même les têtes dures comme la mienne finissent par apprendre, en dépit de quelques rechutes inévitables...  
Reçois l'expression de mon amitié, dame Elfique.

P S: N'est-ce pas là ce qui me parait être l'essence du romantisme: s'impliquer en parlant de soi et des gens qu'on aime ?