Il faut oser
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Il faut oser
Une occasion ratée
.
Le vent faisait du ravage.
La tempête était en rage
Il fallait un grand courage
Pour supporter cet orage.
.
J’étais rentré dans un bar
Un peu comme un jobard,
La table était confortable,
Le personnel très aimable.
.
la boisson était convenable.
J’avais une humeur affable.
Mon corps sentit la chaleur,
Qui me sortit de ma torpeur.
.
L’ atmosphère était enfumée,
La gente n’était pas malfamée,
Je décidai d’ y passer la soirée.
Pour que ma solitude fut noyée
.
Au fond sur l’estrade je la vue,
Elle avait une silhouette menue,
Son allure avait déjà du vécu,
Ce fut le coup de foudre absolu.
.
Elle s’avança pour venir chanter,
Sa guitare pour l’accompagner.
Elle se mit à jouer et fredonner,
Un air très facile pour entonner.
.
Sa voix coulait comme du miel,
Elle m’emmena au septième ciel,
Ses cheveux dorés comme le blé.
Sa peau bronzée, odeur de lait.
.
Elle portait une belle robe légère
Avec de reflets d’un vert fougère
Elle s’accordait à ses yeux verts
A faire tourner les têtes à l’envers.
.
Quand elle eut fini de chanter,
Je n’eus la force de me lever
J’avais peur de tout gâcher.
Et surtout de me faire jeter.
.
Honteux je rentrais chez moi,
J’avais tous les sens en émoi.
Était-ce réalité ou rêve éveillé ?
J ’aurais dû oser simple timidité.
.
La chance il faut un peu tenter,
Pour ne rien avoir à regretter.
L’ amour est toujours rareté,
Pour parler quand c’est passé.
J M le 11/01/2023
.
Le vent faisait du ravage.
La tempête était en rage
Il fallait un grand courage
Pour supporter cet orage.
.
J’étais rentré dans un bar
Un peu comme un jobard,
La table était confortable,
Le personnel très aimable.
.
la boisson était convenable.
J’avais une humeur affable.
Mon corps sentit la chaleur,
Qui me sortit de ma torpeur.
.
L’ atmosphère était enfumée,
La gente n’était pas malfamée,
Je décidai d’ y passer la soirée.
Pour que ma solitude fut noyée
.
Au fond sur l’estrade je la vue,
Elle avait une silhouette menue,
Son allure avait déjà du vécu,
Ce fut le coup de foudre absolu.
.
Elle s’avança pour venir chanter,
Sa guitare pour l’accompagner.
Elle se mit à jouer et fredonner,
Un air très facile pour entonner.
.
Sa voix coulait comme du miel,
Elle m’emmena au septième ciel,
Ses cheveux dorés comme le blé.
Sa peau bronzée, odeur de lait.
.
Elle portait une belle robe légère
Avec de reflets d’un vert fougère
Elle s’accordait à ses yeux verts
A faire tourner les têtes à l’envers.
.
Quand elle eut fini de chanter,
Je n’eus la force de me lever
J’avais peur de tout gâcher.
Et surtout de me faire jeter.
.
Honteux je rentrais chez moi,
J’avais tous les sens en émoi.
Était-ce réalité ou rêve éveillé ?
J ’aurais dû oser simple timidité.
.
La chance il faut un peu tenter,
Pour ne rien avoir à regretter.
L’ amour est toujours rareté,
Pour parler quand c’est passé.
J M le 11/01/2023
Invité- Invité
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