Vous étiez deux …

Vous étiez deux et vous n’êtes plus.
L’un est parti, l’autre n’a pas survécu.
Vous étiez deux mais vous n’étiez qu’un.
Complices, amoureux, quel honneur j’ai eu,
De vous aimer, d’être aimée, de vous avoir connus.
Vous étiez deux mais vous n’étiez qu’un;
D’ici-bas je pense à vous et je me souviens,
Et je ne revois que fous rires et amour.
Vous étiez deux et vous laissez derrière vous,
Un trou béant et larmes sur nos joues.
Mon cœur aime souvent à penser,
Que là-haut vous vous êtes retrouvés.
Puisse-t’il avoir raison
Que vos cœurs rient à l’unisson.
—-
Vanessa Rouanet. 04/11/2022

Un très beau poème triste et en même temps tellement beau, je suis certaine que votre coeur à raison et qu'un amour si fort, ils ne peuvent que se retrouver, j'ai aimé ma lecture.

On peut mourir d'amour, c'est vrai. Très touchant...

Hélas, de bien des manières, il est mourir d'aimer



qu'il est terrible d'aimer
terriblement joyeux
terriblement triste
tremblements d'aimer
de fou de joie
à tristesse affolante
tous les mots coeur
tous les maux du coeur
dans l'amour

20221116

C'est beau, c'est trsite, mais plein d'amour et de tendresse !
La vie, l'amour triomphent quand même puisque tu te souviens !
C'est un superbe hommage nostalgique et touchant !

Merci à vous d’avoir accueilli ces vers si tendrement.