Des muses

Toutes aimées, toutes haies, toutes admirées
Les femmes parfument la vie de leur beauté
Et elles enfantent des amours sans nombre
Que les hommes suivent, ne serait ce que leur ombre
Elles sont les saisons de la vie
Devenant au gré de leur désir embellie
Rude hiver qui glace les coeurs
Généreux printemps qui offre ses plus belles fleurs
Leur fraîcheur vient comme la pluie
Que leur voix accompagne d’une agréable symphonie
Versant du soleil dans nos âmes préoccupées
Qui semblent alors de leur souci se délivrer
Du visage d’une mère qui veille son enfant
Au corps d’une amante qui se donne tendrement
Les femmes inspirent l’amour
Comme les étoiles brillent toujours
Toutes aimées toutes haies toutes admirées
Les femmes sont des muses convoitées
Dont les hommes sont éternellement prisonniers
Coupables et victimes de les aimer
Sans jamais se lasser
Elles nous ont tous inspirées
Car du jour à la nuit elles sont et resteront
Notre doux poison et notre indocile passion.

Bon ben, merci quoi, Thierry !

de rien lydia, normal, quoi de mieux que de vous rendre hommage!

Merci Thierry pour ce poème, très bel hommage aux femmes, j'ai adoré ma lecture

J'aime beaucoup l'idée et ce texte qui a beaucoup de sens me parle bien.
Je te rejoins d'ailleurs tout à fait car la femme est la plupart du temps ce qui inspire mes pratiques artistiques (photo, dessin et littérature dont la poésie).
J'ai néanmoins une question et deux modestes critiques à formuler que j'espère constructives (c'est en tout cas l'idée et je ne connais pas encore votre fonctionnement à ce sujet) :
- Le terme de muse est ici dévoyé, bien que l'on comprenne l'idée d'une extrapolation (la femme mise sur un piédestal). A la base, la muse est l'inspiratrice des artistes mais la femme se saurait se contenter à ce rôle. Elle est bien plus que cela. La limiter aux arts serait réducteur; elle inspire le bonheur, la vie, l'amour, la sexualité, etc.
- Côté forme, l'absence totale de ponctuation me dérange. En littérature, la ponctuation aide énormément à la compréhension du texte. En poésie, elle donne en plus un rythme à la lecture.
- Dans le ver "Et elles enfantent des amours sans nombre", je ne comprend pas le sens. La phrase ne serait-elle pas "Et elles enfantent des amours en nombre" ?
Malgré ces humbles remarques, merci beaucoup d'avoir parfaitement exprimé un sentiment que je partage au quotidien.

J'aime quand un texte met aussi bien en valeur la Femme...
Suis très sensible à ce sujet,alors un grand merci.

question... un sujet = un poème ? ... je suis un peu perdu dans la navigation de ce site.... je voulais poster un petit chtruc pour dire tiens... je participe... mais je ne sais comment faire....

[quote="Frédéric PRUNIER"]question... un sujet = un poème ? ... je suis un peu perdu dans la navigation de ce site.... je voulais poster un petit chtruc pour dire tiens... je participe... mais je ne sais comment faire....
[/quote]
Bonjour Frédéric et bienvenue. Je fais aussi partie des derniers arrivés et c'est vrai que ce modèle de forum a vécu et n'est pas très intuitif.
Il faut cliquer sur le mot NOUVEAU écrit en gros.
Bon courage dans la navigation et la publication de tes textes. A bientôt.

euh.... le mot nouveau écrit en gros.... nada... je suis miro ce n'est pas possible... par contre... je suis envahi de pub.... ouch... bon ben je sens que...mmm...

euh... ça y est .... je vois le NOUVEAU....
pas simple... je le vois sur cette page mais pas sur la page d'accueil.... eh bée....

Frédéric PRUNIER a écrit:euh... ça y est .... je vois le NOUVEAU....
pas simple... je le vois sur cette page mais pas sur la page d'accueil.... eh bée....

Des fois il est en bas de page il me semble.

Frédéric PRUNIER a écrit:question... un sujet = un poème ? ... je suis un peu perdu dans la navigation de ce site.... je voulais poster un petit chtruc pour dire tiens... je participe... mais je ne sais comment faire....

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Merci.

Fanny a écrit:J'aime quand un texte met aussi bien en valeur la Femme...
Suis très sensible à ce sujet,alors un grand merci.

Merci beaucoup Fanny, cette poésie vous rend honneur et vous le méritez bien,

ERos a écrit:J'aime beaucoup l'idée et ce texte qui a beaucoup de sens me parle bien.
Je te rejoins d'ailleurs tout à fait car la femme est la plupart du temps ce qui inspire mes pratiques artistiques (photo, dessin et littérature dont la poésie).
J'ai néanmoins une question et deux modestes critiques à formuler que j'espère constructives (c'est en tout cas l'idée et je ne connais pas encore votre fonctionnement à ce sujet) :
- Le terme de muse est ici dévoyé, bien que l'on comprenne l'idée d'une exextrapolation (la femme mise sur un piédestal). A la base, la muse est l'inspiratrice des artistes mais la femme se saurait se contenter à ce rôle. Elle est bien plus que cela. La limiter aux arts serait réducteur; elle inspire le bonheur, la vie, l'amour, la sexualité, etc.
- Côté forme, l'absence totale de ponctuation me dérange. En littérature, la ponctuation aide énormément à la compréhension du texte. En poésie, elle donne en plus un rythme à la lecture.
- Dans le ver "Et elles enfantent des amours sans nombre", je ne comprend pas le sens. La phrase ne serait-elle pas "Et elles enfantent des amours en nombre" ?
Malgré ces humbles remarques, merci beaucoup d'avoir parfaitement exprimé un sentiment que je partage au quotidien.

Si e texte te parle bien, c'est déjà quelque chose. Le terme de muse n'est pas du tout dévoyé pour moi. Nous sommes dans une poésie, et les mots, richesse de la langue française peuvent avoir plusieurs significations, si bien sûr on est apte à leur donner. A la base la muse est l'inspiratrice des artistes et si on ne sent tient qu'à cette définition, certes, le mot ne définirait pas la femme comme il se doit, mais dans ma poésie, le terme de "muse" est à interpréter dans le sens où la femme est une inspiratrice dans tous les domaines, dans le bonheur, comme dans la vie comme dans l'amour, comme dans la sexualité. La muse ici a une connotation générale!
Côté forme, l'absence de ponctuation peut vous déranger, mais je dois vous préciser qu'il existe des poésies sans ponctuation, chacun y apporte la sienne en fonction du regard que l'on y porte et des émotions ressenties. En littérature, la ponctuation est essentielle, j'en conviens, j'ai écrit plusieurs livres dont un justement où je fais référence à la ponctuation en la comparant à ma maladie, et en prose elle est indispensable.
Dans le ver "elles enfantent des amours sans nombre", cela veut dire qu'elles enfantent des amours incalculables, c'est un effet de style, dans la poésie j'aime beaucoup les effets de style! Pour moi, ce serait beaucoup moins joli " Et elles enfantent des amours en nombre"! Mais c'est juste mon sentiment, vous avez le droit d'avoir le vôtre! Vous avez raison de faire des remarques, toutes les critiques sont bonnes, et puis c'est essentiel d'échanger des points de vue. Au passage, j'ai édité deux recueils de poésies, et l'éditeur ne m'a fait aucune remarque sur ces poésies!

[quote="Benoit (admin.)"]

Frédéric PRUNIER a écrit:question... un sujet = un poème ? ... je suis un peu perdu dans la navigation de ce site.... je voulais poster un petit chtruc pour dire tiens... je participe... mais je ne sais comment faire....



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Merci.

Oui simple et intuitif.

Otez-moi d'un doute :
toutes haies
Quésaco ?

Errances a écrit:Otez-moi d'un doute :
toutes haies
Quésaco ?

Toutes haïes toutes aimées, quel doute y a t il à avoir?

Thierry13 a écrit:

Errances a écrit:Otez-moi d'un doute :
toutes haies
Quésaco ?

Toutes haïes toutes aimées, quel doute y a t il à avoir?

Toutes haïes, c'est bien ce que je pensais. Cependant dans votre poème "haies" me laissait le doute d'une subtilité que je n'aurai comprise.

Merci pour cette confirmation.

Ah, ce Errances, toujours à chercher la p'tite bête...

Errances a écrit:

Thierry13 a écrit:

Errances a écrit:Otez-moi d'un doute :
toutes haies
Quésaco ?

Toutes haïes toutes aimées, quel doute y a t il à avoir?

Toutes haïes, c'est bien ce que je pensais. Cependant dans votre poème "haies" me laissait le doute d'une subtilité que je n'aurai comprise.

Merci pour cette confirmation.

De rien, j'ai fait certainement une faute de frappe, désolé

Lydia a écrit:Ah, ce Errances, toujours à chercher la p'tite bête...

J'avoue que j'y pensais, lol, tu as raison! On n'a pas droit à l'erreur avec certains!

Thierry13 a écrit:

Errances a écrit:

Thierry13 a écrit:

Errances a écrit:Otez-moi d'un doute :
toutes haies
Quésaco ?

Toutes haïes toutes aimées, quel doute y a t il à avoir?

Toutes haïes, c'est bien ce que je pensais. Cependant dans votre poème "haies" me laissait le doute d'une subtilité que je n'aurai comprise.

Merci pour cette confirmation.

De rien, j'ai fait certainement une faute de frappe, désolé

Pas de soucis.

Thierry13 a écrit:

Lydia a écrit:Ah, ce Errances, toujours à chercher la p'tite bête...

J'avoue que j'y pensais, lol, tu as raison! On n'a pas droit à l'erreur avec certains!

Je ne connais pas la poésie de Thierry depuis longtemps. Donc quand un doute m'habite, j'interroge le créateur. Ou la créatrice.

Si, encore, j'étais le dernier à fauter, je comprendrais votre réflexion. De toute façon, vu qu'il y a un "s" à "certains", je ne suis qu'au centième coupable.

Thierry13 a écrit:

Lydia a écrit:Ah, ce Errances, toujours à chercher la p'tite bête...

J'avoue que j'y pensais, lol, tu as raison! On n'a pas droit à l'erreur avec certains!

Ne dit-on pas que le diable se cache dans les détails ?

Ah! voilà un homme qui aime la femme et qui sait comment qu'il faut lui parler ! La concurrence va être rude ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Here a écrit:Ah! voilà un homme qui aime la femme et qui sait comment qu'il faut lui parler ! La concurrence va être rude !  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Pourquoi parler de concurrence? oui, j'aime les femmes, et je trouve cela normal car elles sont le bijou de la vie, mais je ne me sens pas dans une épreuve sportive, lol...ce serait triste de parler de concurrence dans les sentiments, les émotions, les atttirances et cela signifierait que la femme est un trophée alors qu'elle est simplement un humain et quel humain!